Meilleure communication demandée par la SÉPAQ
C’est lors de la rencontre du Comité d’organisation des mesures d’urgence régionales de Charlevoix-Est mercredi que de « bonnes discussions à ce sujet » auraient eu lieu selon Daniel Groleau. Lors de l’intervention, un gestionnaire de garde au parc aurait dû être contacté par la centrale d’appels d’urgence, ce qui n’a pas été fait.
L’arrivée des services d’urgence au parc a indiqué à la SÉPAQ qu’une personne était en difficulté dans la montagne. Daniel Groleau indique cependant que cette situation ne serait pas récurrente. Il croit qu’« il faut améliorer les liens entre l’escouade TNO et la SÉPAQ », soulignant que des fréquences radio pourraient être partagées lors de ces événements.
Le directeur souligne aussi que tout ne passe pas via le 911. Dans certains cas, c’est au bureau d’accueil que des signalements sont faits. « La SÉPAQ peut aller sur le terrain. Il faut qu’on soit appelé rapidement et mis en lien avec l’équipe TNO pour éviter des déplacements inutiles », mentionne Daniel Groleau.
Des béquilles, des bâtons de marche et des civières seraient disponibles en montagne. Des discussions avec les chefs pompiers amèneraient aussi des pistes de solution simples. Le COMUR serait une bonne plateforme d’échange selon Daniel Groleau.
Sur la question des coûts et de la facturation, il ne commente pas. « Il faut voir les retombées de la SÉPAQ qui demeure aussi un payeur de taxes », termine-t-il.