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La main-d’œuvre se fait rare dans Charlevoix

Plusieurs restaurateurs battent des records d’achalandage en juillet mais doivent redoubler d’efforts pour contrer le manque de main-d’œuvre.

Au bistro et auberge Chez Truchon, le propriétaire Dominique Truchon fait de longues journées de travail pour répondre à la forte demande. Il est accompagné d’une équipe motivée, mais réduite.

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Érick Tremblay et Julie Tremblay du Belles & Bum à La Malbaie vivent une situation similaire. Le duo ne compte plus les longues journées de travail.

Tout comme Dominique Truchon, les restaurateurs estiment que les programmes d’aide du gouvernement, comme la Prestation canadienne d’urgence, n’aident pas le recrutement de nouveaux employés.

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Le restaurant Joe Smoked Meat à Baie-Saint-Paul est lui aussi en pleine recherche de main-d’œuvre alors que le propriétaire s’est tourné vers les réseaux sociaux dans l’espoir de trouver des employés.