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Gérald Maltais veut finir ce qu’il a commencé

Gérald Maltais souhaite boucler la boucle. « Je veux voir se terminer le méga projet d’usine de traitement des eaux qui est cours. Je veux aussi poursuivre le développement récréotouristique avec le Massif et participer aux négociations pour un Club Med » dit-il en entrevue.

C’est l’impressionnant total de 16 candidats qui sont sur les rangs pour former le nouveau conseil municipal de Petite-Rivière-Saint-François le 5 novembre, dont trois pour le poste de maire. Gérald Maltais ne croit pas que c’est une démonstration de non-confiance.

Sur les problèmes économiques rencontrés par deux commerces, soit le dépanneur qui a fermé et l’Auberge la Courte-Pointe dont les opérations ne sont plus rentables, l’élu croit que « la municipalité ne peut pas être blâmée car elle a fait ses devoirs ». Il fait toutefois de la réouverture du dépanneur une de ses priorités. « Si je suis là le 6 novembre, je mets en branle notre plan B avec le nouveau conseil. C’est primordial d’avoir un dépanneur à Petite-Rivière. »

Dans ses bons coups des dernières années, le maire sortant évoque l’accueil du tournoi provincial de dek hockey, l’amélioration des équipements municipaux et la reconstruction du chemin de La Martine.

Gérald Maltais n’entend pas faire deux campagnes. « Je ne tiens pas deux discours. J’ai une seule municipalité qui fait autant de place aux nouveaux arrivants qu’à ceux qui y sont établis depuis longtemps » tranche-t-il.

À propos de l’appui de l’ancien maire Jean-Guy Bouchard à son opposant William Paquin, dont il a « entendu parler », Gérald Maltais se dit « un peu surpris » mais n’a pas souhaité élaborer davantage.