Le Club des petits déjeuners intègre l’école Marie-Victorin, pourrait s’étendre dans Charlevoix-Est
Date : 18 nov. (15H05)
Le projet était en période de rodage depuis 2022. Un appui financier récurrent du Club des petits déjeuners vient toutefois assurer la pérennité du programme pour l’année, notamment grâce à l’appui du Service d’aide communautaire de Charlevoix-Est (SACC) dans la préparation quotidienne des repas.
Bien qu’il est difficile de chiffrer l’impact de l’initiative sur les élèves, le directeur des Marées montantes, Jean-François Giroux, avance néanmoins qu’un esprit de camaraderie et d’entraide s’est implanté chez les élèves au fil du projet pilote. Il maintient que l’initiative va au-delà de nourrir, même s’il s’agit de la raison d’être du programme :
La députée de Charlevoix-Côte-de-Beaupré, Kariane Bourassa, présente à la conférence de presse, se réjouit de l’annonce faite par le Club des petits déjeuners. Une équipe de dix bénévoles se partageront maintenant la tâche de se présenter tous les matins à l’école Marie-Victorin pour préparer les repas à l’arrivée des élèves.
Il faut dire que la députée aura participé financièrement pour permettre au projet de démarrer. Maintenant bien en scelle à Saint-Siméon, d’autres écoles sont maintenant dans le viseur, confirme-t-elle :
Parmi les autres écoles, on compte notamment l’école Laure-Gaudreault de Clermont, où la conseillère municipale Solange Lapointe a signalé son intérêt à mobiliser les ressources nécessaires pour y démarrer le programme.
Mentionnons que l’ensemble des élèves ont accès à un petit déjeuner pour amorcer leur journée d’école afin d’éviter la stigmatisation d’un groupe plus précaire. Annuellement, le programme du Club des petits déjeuners coûte environ 15 000 $ par école.
